L’air marin des Côtes-d’Armor s’imprègne déjà des effluves des fêtes à venir. Et cette année, une star s’annonce particulièrement brillante : la coquille Saint-Jacques. Les récoltes promettent d’être, comment dire… spectaculaires. On parle d’une abondance presque incroyable, de quoi régaler les gourmands et faire honneur à cette pépite des profondeurs bretonnes. Imaginez déjà ce goût si particulier, cette chair nacrée qui fond en bouche. Une promesse de délices pour vos tables de fin d’année, une invitation à célébrer le meilleur de la mer. On s’est penché sur ce qui rend cette saison si spéciale, et croyez-moi, il y a de quoi être enthousiaste.
Un engagement au service de la qualité, vraiment
Prenez Victor Coutin. Il pêche depuis 2010, et ça se sent. À la tête de l’armement Ki Dour Mor II, avec son frère Pierre aux commandes du Kernéo, c’est une affaire de famille, et ça, ça fait toute la différence. Ils naviguent pour la qualité, pour la sécurité, pour le plaisir de bien faire. Le Ki Dour Mor II, lui, il est dédié à notre fameuse *Pecten Maximus*, la coquille Saint-Jacques, oui. Et attention, pas n’importe laquelle : ils respectent scrupuleusement la taille minimale de 10,5 cm. C’est pas juste une règle, c’est une conviction. Préserver l’espèce, c’est s’assurer que nos petits-enfants pourront aussi s’en régaler. C’est une démarche qui a du sens, vous ne trouvez pas?
La réglementation, une alliée plutôt qu’un frein
La pêche à la coquille Saint-Jacques ici, ce n’est pas la loi du plus fort, loin de là. C’est un ballet bien orchestré par le comité des pêches et supervisé par les affaires maritimes. Les sorties sont calées le lundi et le mercredi, en fonction des marées, des courants… c’est un peu comme jouer aux échecs avec l’océan. Victor le dit lui-même, et ça résume bien l’esprit : « Chaque geste compte, on doit respecter les quotas et les périodes de pêche. » Et il le dit avec cette simplicité qu’on aime tant. Pour que le gisement tienne le coup, ils utilisent des techniques précises. La drague, avec son râteau et son sac, est conçue pour ne garder que les belles, celles qui ont atteint la taille. « On ne pêche que ce qui est autorisé, 1,050 tonne par marée, pas un gramme de plus », insiste Victor. C’est cette rigueur qui nous garantit des coquilles de qualité aujourd’hui, et qui assure qu’on en aura demain. Pour en savoir plus sur ce qui se fait de bien en matière de pêche, regardez du côté de ces tendances culinaires, parfois les idées se croisent.
Un circuit court, le secret de la fraîcheur
La fraîcheur, c’est le nerf de la guerre. Et l’équipe du Ki Dour Mor II le sait bien. Dès qu’ils accostent à Saint-Quay-Portrieux, hop, direction Plouha, au point de vente. Là, c’est Aurélie, la compagne de Victor, qui vous accueille avec un grand sourire. La vente, c’est direct, tous les jours de 18h à 18h45, d’octobre à fin mars. Et le prix? 3,50 euros le kilo de coquilles entières. Oui, vous avez bien lu. C’est presque donné pour une telle qualité. Aurélie, elle, elle joue un rôle essentiel. Elle partage leur passion, leur savoir-faire, et ça, ça crée un lien, une confiance. Ils ont même prévu un local pour transformer les produits, des viviers pour proposer bientôt du décorticage. En plus des coquilles, ils pêchent aussi les bulots, les araignées, quelques poissons… une belle diversification qui montre leur engagement.
Le festival de la coquille, une fête à ne pas manquer
Pour célébrer cette belle récolte et partager leur amour de la mer, les pêcheurs des Côtes-d’Armor organisent la deuxième édition du festival de la coquille Saint-Jacques. Rendez-vous les 25 et 26 octobre 2025, au port du Légué. Prévoyez large, car près de 5 tonnes de coquilles seront à déguster et à acheter sur les deux jours. C’est l’occasion rêvée de discuter avec les marins, de monter à bord, d’apprendre à ouvrir ces coquillages comme un pro. Une vraie plongée dans l’univers de la pêche artisanale et durable. Si vous aimez les escapades authentiques, pourquoi ne pas jeter un œil à notre guide sur Marrakech hors des sentiers battus? Parfois, l’aventure se trouve là où on ne l’attend pas.
Expertise et perspectives, le regard des pros
Le Dr. Dubois, un expert en la matière, confirme : « Les relevés de température de l’eau et la qualité des nutriments dans la baie de Saint-Brieuc ont été particulièrement propices au développement des coquilles Saint-Jacques cette année. » Il ajoute que le respect des périodes de reproduction et des tailles minimales est crucial pour la pérennité des stocks. Les perspectives sont donc réjouissantes, à condition que les conditions environnementales restent favorables et que la vigilance des pêcheurs ne faiblisse pas. On pense aussi à l’avenir, à l’innovation. Comme on l’a vu dans notre article sur les nouvelles technologies de mobilité, les avancées pourraient bien aider à optimiser la pêche et le suivi des stocks dans les années à venir.
Un avenir prometteur pour notre chère coquille
Cette belle récolte de coquilles Saint-Jacques dans les Côtes-d’Armor, c’est le résultat d’un travail acharné, d’un profond respect de la nature, et d’une gestion qui fait sens. C’est une ode au terroir breton, à ses trésors marins. Alors, prêts à vous laisser tenter par la meilleure des coquilles Saint-Jacques ? Soutenez ces pêcheurs passionnés, commandez directement vos délices. Et pour d’autres idées gourmandes, n’oubliez pas de faire un tour sur restaurant-kamkok.fr.
